E L E C T R O P H O T O G R A P H I E


ENERGETIC PHOTOGRAPHY

In a first time I give some explanations on energetic photography, later I speak of  my personal biophysic work. (as a future design.)



Elle suscite un intéret constant depuis sa découverte en 1777 en Allemagne par George Christopher Lichtemberg, observant  les traces sur le sol autour d'un arbre sur lequel la foudre était tombée. Les particules de poussière et de terre avaient formé par migration dans un champs électrique une image.
Il entrepris d'expérimenter, l'électrophotographie était née. Elle ne cesse d'intriguer par la variété de ses images.
En 1939 en Russie, Semion Kirlian et sa femme Valentina montrèrent que ce phénomène présentait des propriétés remarquables. Leurs travaux mirent en évidence  la formation d'images de continuité. Des feuilles de végétaux amputées d'un de leurs lobes étaient photographiées par cette méthode, le lobe manquant continuait d'apparaître d'une manière atténuée. 
Depuis cette époque, elle est étudiée à un niveau international par des physiciens, des ingénieurs, des psychologues, des médecins. 
Grâce à ces chercheurs, ce phénomène qualifié "d'effet Kirlian" a livré une partie de son mystère.

Il est établi aujourd'hui que ce procédé permet d'objectiver par une méthode analytique précise, l'état énergétique du corps humain dans son ensemble.
Cette méthode ne constitue pas un diagnostic organique mais un état des lieux énergétique. Il faut se référer à la médecine traditionnelle chinoise (MTC) pour saisir la subtilité du rapport énergie /organe.
Il faut raisonner en termes de probabilités, comme en physique quantique.
Les extrémités des doigts des mains et des pieds sont considérées comme des secteurs de somatotopie (convergeance des méridiens d'acupuncture).

La photographie Kirlian est reconnue officiellement en Russie.
Il est intéressant de constater que l'image électrophotographique se modifie, s'améliore aprés un traitement, qu'il s'agisse de phytothérapie, d'homéopathie, d'acupuncture, de magnétisme, de naturopathie, etc...



Cette photo présente un état énergétique qui oriente vers les points suivants:

Probabilité d'existance:

D'un terrain résistant à la maladie
D'un problême lymphatique abdominal à mettre  éventuellement  en relation avec  la sphère ORL.
D'une compression nerveuse au niveau de la colonne cervicale et d'arthrose cervicale.
D'un hypofonctionnement surreinalien.
D'une faiblesse énergétique de la branche droite du méridien Maitre du Coeur et du Triple Réchauffeur.
On note d'ailleurs une faiblesse énergétique en haut et à droite (main droite).
l'énergie est bien répartie entre le haut et le bas du corps, ce qui est relativement rare.

Le stress a tendance à empêcher la circulation énergétique de se faire vers le bas du corps.

Il apparait comme une une claire évidence que l'être humain n'a jamais été "conçu" pour "fonctionner" dans un tel irrespect de son corps et de son mental.
 
Il est trés intéressant de constater qu'il y a convergeance avec l'iridologie alors que ces deux méthodes sont fondamentalement différentes.
Cette convergeance se retrouve surtout au niveau du terrain.

Le papier photo

Le papier photo reçoit une vingtaine d'images intermédiaires pendant la durée d'exposition, de l'ordre d'une seconde.
Le signal électrique délivré par le générateur est une succession d'amortissements sinusoïdaux d'une fréquence  d'une quinzaine de kilohertz à une cadence d'une vingtaine de hertz.
L'émulsion de bromure d'argent du papier photo est impressionnée par la somme de la lumière produite par chacune de ces images intermédiaires.
Des temps de pose courts semblent donner des images moins riches de détails.
Le papier photo semble avoir un role d'intégration dans la formation de l'image.


Principe de fonctionnement

Les premiers appareils utilisés étaient des machines électrostatiques à friction de type Ramsden, (1766).
Elles délivraient des tensions de quelques dizaines de kilovolts (kv) sous des courants de faible intensité, n'atteignant pas le milliampère (mA). La puissance mise en oeuvre restait donc faible. Il est intéressant de noter que les conditions d'utilisation étaient proches des conditions d'observation faites par Lichtemberg (à un moindre niveau d'énergie, bien évidemment !)  car Il s'agissait de haute tension continue.

Les bobines hautes tensions de type Rumkorff, (années 1850).

Elles délivraient  une tension élevée (d'une vingtaine à une centaine de kv) mais à  faible courant.
Avec cette technique nous nous éloignons des conditions expérimentales de départ car elles délivraient une succession d'ondes sinusoïdales amorties, un courant de type alternatif.
Il s'agissait d'oscillateurs électromécaniques fonctionnant sur leur fréquence de résonnance propre.
Ils étaient constitués de 2 enroulements de fil de cuivre.
La fréquence de résonance était obtenue en déplaçant un noyau de fer doux (fer pur) dans la bobine jusqu'à obtention des arcs électriques les plus longs possibles.

Des petits résonnateurs de Tesla furent également utilisés.
 
A titre d'exemple voici quelques formules qui ne permettent qu'une approche approximative de la notion d'oscillation et de résonance.  

1   FREQUENCE D'OSCILLATION D'UN CIRCUIT LC    

L    représente l'inductance du solénoïde, exprimée en Henries" H" ou millienries "mH". 
C   la capacité d'un condensateur, exprimée dans la pratique en microfarads "µF" .
Cette formule ne peut pas s'appliquer à la bobine de Rumkorff car cette dernière avait un noyau de fer doux.

2   CONDITION DE RESONNANCE

L    inductance d'un solénoïde
C   capacité d'un condensateur
w   la pulsation du signal ( 2 ¶ . F )

Il apparait  une capacité propre au solénoïde. Les juxtapositions des spires de la bobine déterminent cet effet capacitif intrinsèque dont la formule de Medhurst par exemple n'établi qu'une approche de cette  valeur dans le cadre d'un solénoïde monocouche et de rapports de dimensions définis... 

  
   FORMULE DE MEDHURST

C   capacité propre du solénoïde
R   rayon du solénoïde 
L   longueur du solénoïde 

Des trains d'impulsions basse fréquence (quelques dizaines de Hertz) étaient appliqués au circuit primaire par l'intermédiaire d'un trembleur dans le cas des bobines de Ruhmkorff, d'un commutateur statique ou rotatif entrainant des décharges capacitives successives dans le cas de petits résonateurs.  
Ces impulsions de courant donnaient naissance à des impulsions magnétiques :

  CHAMP MAGNETIQUE INDUIT DANS UN SOLENOIDE

B     champ magnétique en Tesla
µ0   permitivité magnétique du vide:  4¶10-7
n     nombre de spires
l      longueur en mètre
i      courant en ampères

Inversement, ces impulsions magnétiques déterminaient des impulsions de courant dans le secondaire.
L'impédance du secondaire ne pouvait qu'être qu'approchée dans le cas de la bobine de Ruhmforff car  le noyau de fer doux augmentait sensiblement son inductance.
Les formules 1 et 2 s'appliquent plus directement au résonnateur de Tesla car il fait intervenir des enroulements à noyaux d'air.  
Mais, le transfert d'énergie donne naissance à des manifestations électriques comme, l'impédance de transfert, la réactance à la résonnance, l'effet de shunt capacitif...
Le courant induit au secondaire donne lieu à des interactions amorties avec l'enroulement primaire...
Une partie de l'énergie transférée au secondaire a tendance à refluer vers le primaire et du primaire vers le secondaire en amortissements...


  Ne correspond pas à la réalité physique d'une telle bobine en fonctionnement.

Ces générateurs fournissaient donc une succession d'ondes sinusoïdales amorties de moyenne fréquence (de quelques dizaines à un peu plus d'une centaine de KHz) à une cadence de quelques dizaines de Hertz.
Ces signaux furent photographiés pour la première fois par Federsen en 1861 grace à un mirroir tournant.


Trains d'ondes sinusoïdales amorties

Mon propos n'est pas de faire un exposé sur l'électricité mais une rapide présentation de quelques principes physiques. Il existe de nombreux sites de qualité sur le sujet.

Interaction avec le corps

 L'écran de l'appareil émet un rayonnement électromagnétique d'une quinzaine de kHz associé à un champ électrique d'à peu prés 4 Mv/m soit 20 kv/5mm, de même fréquence.

Il s'agit de courants de moyenne fréquence ne présentant pas de risques.
La nocivité apparait  à des fréquences beaucoup plus élevées, les hyperfréquences, (à partir du gigahertz "GHz").
Ce dossier est d'ailleurs connu depuis la fin de la seconde guerre mondiale:
Premiers radars et premières leucémies associées !!!
Cela n'a nullement empêché la prolifération des sources hyperfréquences:
Téléphonnes portables, fours à micro-ondes, faisceaux hertziens...

Quelles interactions peuvent exister entre le corps et  les signaux générés ?

Tout d'abord n'oublions pas que nous sommes en présence d'un courant de moyenne fréquence présentant donc la propriété de circuler à la surface du corps et non en profondeur.
Ce phénomène s'appelle "Skin effect" ou effet de peau
et sa formule est:

       SKIN EFFECT

s    skin effect
ro  résistivité
w   pulsation
µr  permitivité relative du milieu étudié
µo  permitivité magnétique du vide:  4 ¶ 10-7      

Il existe sur le web pratiquement autant de calculateurs que de formules de physique. Il suffit de taper en anglais le nom de la formule suivit de "calculator".
Il est donc relativement aisé de déterminer par exemple à fréquence constante le skin effect d'un conducteur métallique et d'un milieu proche du milieu biologique.
Voici ce que donnent les calculs pour une fréquence de 15 KHz et en supposant la valeur de la permitivité relative égale à 1 dans les 2 cas:


Cas d'un conducteur métallique (cuivre)                        S =  0.53 mm

Cas d'un milieu 1500 fois plus résistant
électriquement (milieu biologique)                                   S =  22. 5 mm

Il est intéressant de noter que l'interaction milieu biologique / générateur se fait j'usqu'à une profondeur d'approximativement 2 cm.

D'autre part, Il se forme un filtre intégrateur entre l'appareil et le corps. 
En effet, les extrêmités des doigts forment avec l'écran une capacité de trés faible valeur, approximativement 20 picofarads (10 à la puissance -12 farad, "pf" en abrégé) pour les 2 mains.
Si l'on estime la surface par excés d'un doigt à 2.2 cm2 et à 4 mm l'épaisseur du diélectrique écran, les calculs donnent une valeur qui se situe aux alentours de 20 pf. Ils sont réalisés grâce à la formule:




C   capacité en µF
E   constante diélectrique, de l'ordre de 2 dans le cas qui nous intéresse.
S   surface des extrêmités des doigts posés sur l'écran du générateur.
e   épaisseur du diélectrique

On sait qu'un filtre intégrateur a la propriété de générer des pics en atténuation si sa constante de temps téta est faible devant la période du signal entrant. (constante de temps du filtre: téta = RC).
La résistance équivalente du corps  humain est de l'ordre de 2000 ohms.
Ce qui amène une constante de temps téta de:

20.10-12 x 2000 = 40 . 10-9 seconde.  


                                                                   

1 Ondes sinusoïdales amorties provenant du générateur
2  Interface écran / personne (filtre intégrateur)
    G  Courant du générateur
    C   Interface capacitif écran / personne
    R   Résistance équivalente du corps
    P   Pics de faible énergie.
3  pics de tension à faible énergie. Profondeur de circulation maximale: 2.5 cm 

       ONDE SINUSOÏDALE AMORTIE    

L'énergie véhiculée par un signal électrique est égale à la surface de ce signal, en vert clair sur l'image 1.
Comme on peut le voir sur l'image 3, les pics de tension ont une surface inexistante et une amplitude réduite.
Ce que nous montre la physique est que le signal électrique du générateur se transforme en entrant dans le corps en perdant de l'énergie et en ne circulant pas en profondeur.

Voici un élément montrant que l'énergie mise en oeuvre au niveau du corps est faible.

Formation de l'image

I  Interaction avec la composante électrique:

Le milieu biologique est riche en eau (~ 75 %) et en électrolytes.
Le taux d'ionisation de ce milieu varie en fonction de facteurs physiologiques intrinsèques (voir plus loin le chapitre "parenthèse").
L'interaction électrique se fait donc avec un milieu globalement conducteur.
C'est ce qui permet d'obtenir l'image de base, c'est à dire le cercle d'amorçage autour de chaque doigt.
Parallèlement, cette image de base semble modifiée par l'interaction électromagnétique décrite ci-dessous.



II  Interaction avec la composante électromagnétique:

Les nombreuses recherches menées depuis une vingtaine d'années montrent que les points d'acupuncture et les méridiens ont une résistivité plus faible que la physiologie environnante.
D'autre part, les méridiens ne circulent pas en profondeur.
On peut donc supposer une interaction générateur / méridien puisque la valeur du skin effect est de l'ordre de 2 à 3cm, ce qui correspond à peu prés au niveau de circulation de ces canaux d'énergie.
On peut imaginer l'apparition d'ondes stationnaires le long des méridiens.
L'interface doigts/écran serait un lieu privilégié d'amorçage donnant l'image électrique d'un état interférentiel (nodes et antinodes).
On peut supposer qu'à une altération de la circulation énergétique sur un méridien corresponde une modification du taux d'ondes stationnaires et par voie de conséquence une modification de l'image électrophotographique.   

 


P:       Peau
S:       Skin effect
M:      Méridien 
O.S:   Ondes stationnaires générées par les pics de tension ?

On comprend la spécificité de l'image qui se forme car elle est liée à:

Un état d'ionisation global lié à l'état général de la personne.
Un état interférentiel lié à la circulation de l'énergie au niveau des méridiens.
 
Parenthèse

Il  semble que les cellules animales, humaines et végétales sont capables (hélas) d'interagir avec les rayonnements électromagnétiques. Rappelez-vous des problêmes graves avec les premiers radars.

Ces interactions sont même possibles à l'autre extrêmité du spectre électromagnétique avec les rayonnements de trés basse fréquence. Ces derniers auraient un impact sur le psychisme, entrainant la libération de médiateurs chimiques et autres hormones du comportement... Or des émetteurs de ce type, aux puissances colossales, sont installés sur notre planète... Pourquoi ?
Face à de tels sommets on ne peut s'empêcher de penser à une citation de François Rabelais:
Science sans conscience n'est que ruine de l'âme, formulée vers 1532 !...

a) La membrane plasmique est porteuse de charges électriques, elle est polarisée, son potentiel électrique varie d'une dizaine à une centaine de millivolts, les charges électriques positives sont portées par sa face externe.
Il semble que ce soit cette polarisation qui la rend sensible aux rayonnements électromagnétiques.
Il est établi qu'elle joue un role essentiel avec le milieu interstitiel en assurant des fonctions vitales comme:
¤ Récepteurs membranaires
¤ Transporteurs membranaires
¤ Pompes à sodium
¤ Mécanismes de protection virale
Or tous ces rayonnements semblent entrainer une altération de son fonctionnement et éventuellement de sa structure.

b) Les potentiels d'oxydoréduction intracellulaires liés à l'activité mitochondriale entre autres font apparaitre des dipôles électriques qui sont peut-être capables d'entrer en resonance avec ces ondes.
Quels sont les effets de telles perturbations ?



Cellule animale

Mp:       Membrane plasmique
PEM:    Potentiels électriques membranaires
PO:       Potentiels d'oxydoréduction
Mz:       Microzyma
Mi:        Mitochondrie
Mn:       Membrane nucléaire
N:         Nucléole
C:         Cytoplasme
G:         Granulations cytoplasmiques
Etc...


J'interromps ma communication à ce niveau.

Lorsque j'ai découvert ce phénomène il y a de nombreuses années, ce fut avec passion.
Cette passion s'est progressivement transformée en une patiente quête d'informations qui m'a conduit en des champs de connaissances inattendus.
La synthèse de ces données m'a permis de comprendre un processus qui me demande maintenant d'expérimenter.

A ce stade de recherche et d'investissements personnels, je suis heureux de ne toujours pas ressentir cet écoeurement légitime que je serai en droit d'éprouver car l'Espoir de partir vivre sous des cieux plus cléments et cohérents est au rendez-vous. 

J'essaie actuellement de concevoir un dernier prototype avec trés peu de moyens.

Voici quelques clichés:




Image obtenue sur papier photo.     
                    

     
 Image non photographique obtenue
par migration, de type Lichtemberg.



Photo classique d'aspect normal.
Ce type d'image sans perturbations notables est devenu rare !...



Mon pouce droit en couleur


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